Cultivée, brassée et embouteillée sur l'île

Le savoir-faire

La salle à brasser

La brasserie est dotée d’installations neuves et de conception industrielle permettant d’assurer une qualité régulière et irréprochable à toutes les étapes du process :

  • Une salle à brasser de 20hL
  • Une cave de fermentation / garde de 120hL
  • Une malterie  pouvant malter des lots de 1 tonne d'orge (prévue en 2021)
  • Une nettoyeuse et remplisseuse de fûts inox de 30L
  • Un soutirage isobarométrique des bouteilles de 33cL à 2L

La recette

     Elaborée dans la grande tradition des maîtres brasseurs, la GX est simplement travaillée avec l'eau, l'orge, le houblon et la levure renforçant ainsi la céréalité  du produit tout en faisant ressortir les saveurs issues de la fermentation primaire.

      Une attention particulière est portée à chacune des étapes du brassage afin d'obtenir un produit de qualité qui se caractérise par : 

  • Des bulles fines issues de la carbonatation naturelle de la levure
  • Des arômes préservés grâce au concassage du malt la veille
  • Des couleurs authentiques dues à la cuisson lente du moût
  • Un goût pur : pas de pasteurisation ni de refermentation en bouteille

La composition de 25cL de GX

50 grammes de malt

35 centilitres d'eau

0,5 gramme de houblon

1 pincée de levure 

La fabrication

1. Le concassage

L'orge maltée est broyée dans un concasseur. Cette étape permettra de favoriser la dissolution de l’amidon contenu dans la céréale.

empatage

2. L'empatage

Dans la cuve matière, le malt concassé est trempé dans l'eau chaude. Cette étape permet l'activation des différentes enzymes contenues dans le germe des céréales afin de convertir l'amidon du grain en sucre. 

Ce mélange malt/eau - appelé maische- est ensuite maintenu à température élevée dans la cuve de brassage.

Filtration

3. La filtration

C’est dans la cuve filtre que s’effectue la filtration, c’est-à-dire la séparation des débris de céréales -les drêches- du liquide sucré -le moût-. En laissant reposer la maische, les grains  se déposent progressivement sur la plaque filtre positionnée en bas de la cuve. Le sous-tirage (filtration du moût) se répète tant que le liquide n'est pas parfaitement clair et le filtrat (drêches) vidé de ses sucres.

L'ébullition et l'houblonnage

4. L'ébullition et l'houblonnage

Le moût est ensuite transféré dans la chaudière pour y être porté à ébullition pendant 1h environ. Le brasseur ajoute alors du houblon qui apportera l’amertume nécessaire à la bière.

Le refroidissement

5. Le refroidissement

En quelques heures, le moût brûlant est refroidi jusqu'à atteindre une température propice au développement des futures levures.

La fermentation

6. La fermentation

Le moût refroidi est transféré en cuve de fermentation. Le brasseur ajoute alors les levures qui vont consommer les sucres du moût et produire en contrepartie de l’alcool, du gaz carbonique et des molécules aromatiques. La bière "travaille" ainsi une dizaine de jours pour s’affiner : c'est la période de garde.

La dernière étape consiste à sous-tirer puis conditionner la bière, en fûts ou en bouteilles.

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