Comme un corps humain en bonne santé évite la maladie et n’a pas besoin de médicaments, une terre en bonne santé n’a pas besoin d'additifs chimiques.
C’est avec le support de Jean-Philippe -agriculteur groisillon convaincu- que nous développons la culture de l’orge sur un principe simple : bien nourrir la terre, c’est bien nourrir le grain.
Ces pratiques dites "d'agriculture régénératrice" ou "d'agriculture de conservation" sont basées sur le respect du sol : non-labour de la terre, semis direct, couvert végétal, système de jachères et rotations de cultures adaptées.
Ces pratiques agricoles s'imposent comme un maillon essentiel de ce projet de développement durable sur l'île.
"Quand j’ai repris ces terres, elles manquaient de matière organique et n’étaient plus très fertiles, explique Jean-Philippe. L’agriculture de conservation (non labour, terres couvertes en permanence, techniques simplifiées de semis) m’a permis de multiplier le nombre de vers de terre par cinq et d’accroître la qualité du sol sans avoir recours aux fertilisants."
La Bière de Groix aspire à avoir l’empreinte la plus faible sur l’environnement et les ressources naturelles de l’île. En adoptant des circuits courts d’approvisionnement en matières premières et en groupant la distribution de produits finis, nous visons à réduire au maximum notre impact carbone.
Les autres actions menées seront de :